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Coucou tout le monde ! Je suis contente de vous retrouver aujourd'hui pour un article que je préparais depuis quelques semaines mais que j'ai finalement supprimé. Pour tout vous expliquer, j'ai bien réfléchis et me suis remise en question par rapport au blog et quel intérêt je pouvais apporter aux gens en partageant, et j'en avais un peu assez des morning routine ou je n'avais rien de passionnant à vous montrer etc...donc je pense vous faire moins d'articles mode et beauté sauf quand j'en aurai envie et que cela me semblera utile de partager.

➼ Muesli maison :

Primordial, pour commencer une journée et avoir de l'énergie, il faut se remplir l'estomac. Ma dernière morning routine était constituée de pain/nutella...Mais récemment, j'ai voulu stopper ceci et me mettre à manger plus sain, ou au moins, essayer d'éviter le carnage. Déjà que je n'aime pas grand chose, j'ai donc cherché quelque chose à manger à la place du nutella ou des céréales qui sont très sucrées, et j'ai goûté le muesli au chocolat noir de chez Bjorg, que j'adore, mais qui pourrait se faire maison selon moi.

Recette :

-Flocons d'avoine

-Copeaux de chocolat (noir c'est mieux mais si vous êtes comme moi, que vous n'aimez pas, faîtes un mélange de chocolat noir et au lait mais évitez le blanc, il n'y a pas de cacao dedans et il est très riche en gras.)

-Amandes ou noix

-Lait ou fromage blanc

Morning Routine un weekend de rentrée...

Vous pouvez toujours ajouter des corn flakes bio (ce jour-là je n'en avais pas donc je n'en ai pas mis, mais je vous avoue que ce petit goût croustillant m'a manqué...😕), il y en a de la marque U très peu grasses et riches en fibres. Et si vous aimez les fruits et que vous pouvez vous passer de chocolat, faîtes échange. Vous pouvez vraiment varier la recette de muesli selon vos goûts !
Et cela m'arrive aussi d'en prendre en moins grandes quantités et de le verser dans un yaourt par exemple. Beaucoup de gens prennent du muesli avec du lait mais personnellement je n'aime pas le lait cru.

Et si vous trouvez un muesli en grande surface qui pourrait vous plaire, si vous n'avez pas envie de le faire maison, je vous recommande de veillez à ce qu'il n'y ait pas trop d'additifs dedans. Veillez à le prendre au rayon bio et non dans le rayon où se trouvent les autres céréales du style : Trésor, Kellogg's...D'ailleurs, ne vous fiez pas aux emballages ou aux bêtises que l'on pourrait vous raconter à la télé du genre : Kellogg's spécial K justement car ils font croire que c'est très sain, ils présentent leur pub avec des fruits etc...mais leurs céréales sont très sucrées.

J'espère que ce petit article vous a plu, je vous dis à la prochaine, et en attendant, prenez soin de vous.💋

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Coucou tout le monde. Je reviens aujourd'hui pour vous parler d'un sujet sensible et même je dirais tabou, mais qui est important : l'automutilation. Tout d'abord, je tiens à dire que cet article n'est pas du tout à titre incitatif, bien au contraire, il a été écrit et réfléchit longuement pour aider et informer ceux qui passeront par ici. Je ne parlerai en aucun cas d'expérience personnelle et/ou qui concernerait quelqu'un de mon entourage. Et je m'excuse d'avance si il m'arrive d'avoir des propos maladroits ou qui puissent être mal interprêtés.

L'automutilation, "les soucis s'envolent avec la douleur", on en parle. {Discussion n°4}

Qu'est-ce que c'est ?

L'automutilation ou autodestruction si vous préférez, est une chose dont peu de personnes parlent alors que cela concerne beaucoup de monde, surtout entre 12 et 25 ans où 1 personne sur 10 est concernée, en particulier les femmes. Contrairement aux idées reçues, ce n'est pas un acte avec des intentions suicidaires, malgré que cela puisse mener à la mort, mais le fait de s'infliger intentionnellement et à plusieurs répétitions du mal physique et de vouloir par cet acte ne plus ressentir, ou affaiblir une douleur profonde et mentale. Une personne qui se mutile est une personne qui souhaite vivre, en faisant passer sa douleur intérieure en mal physique pour ne plus avoir à vivre avec.

Formes d'automutilation :

Il y a pleins de types d'autodestruction corporel, comme : la plus connue, la dégradation cutanée (coupures, blessures, griffures, brûlures, abrasions, coups...), la trichotillomanie (arrachement de poils : cheveux, cils, barbe...) ou encore l'ingestion de substances toxiques et néfastes.

Les troubles de conduites alimentaires comme la boulimie ou l'anorexie, ne sont généralement pas considérés comme de l'automutilation car les dommages infligés à l'organisme ne sont pas intentionnels ; même si l'anorexie (ou boulimie) et l'autodestruction peuvent être rattachés et suivis. Ce que je veux dire, c'est qu'une personne qui se mutile peut arrêter cet acharnement pour ensuite passer aux troubles alimentaires et vice versa. Ces deux actes sont liés.

Le suicide ?

Comme je l'ai dis dernièrement, le suicide n'est pas considéré comme de l'automutilation. Bien qu'il ne soient pas directement liés, les blessures intentionnelles réalisées par l'individu peuvent conduire et mener à son décès ; ce qui est le cas pour 40 à 60% de personnes qui se mutilent. Malgré tout, les 100% de personnes sont considérées pour la plupart du temps comme étant suicidaires, ce qui est inexact.

Causes de passage à l'acte :

Il y a pleins de raisons qui mènent à s'autodétruire, et celles-ci sont caractérisées en deux catégories : l'état dissociatif et l'état de dépersonnalisation.

L'état dissociatif regroupe tous les troubles dus à un traumatisme touchant la conscience, la mémoire, l'identité ou la perception de l'environnement quant à l'état de dépersonnalisation, il regroupe tous les sentiments de perte de sens de soi même dans lequel un individu ne possède aucun contrôle de la situation (☝à ne pas confondre avec déréalisation).
Etat dissiociatif : dépression, stress, anxieusité, troubles de conduites alimentaires, maltraitance et violence (morale, physique ou sexuelle).
Etat de dépersonnalisation : troubles de la personnalité (borderline), addiction substantielle, schizophrénie et refus d'expression sur une douleur intérieure.
Ces termes évoqués sont vagues et peuvent inclure mille et une raisons qui mènent à se faire du mal physique.

Un cercle vicieux ?

Lors du passage à l'acte, même si c'est difficile à croire, la personne en question libère de l'endorphine, une sensation de "plaisir" ; ce qui va l'entraîner dans un cercle vicieux, car à chaque fois qu'elle ressentira une nouvelle fois cette douleur morale, elle voudra recommencer.

Il faut comprendre que cette personne, si elle passe à l'acte, c'est qu'elle se sent mal et un minimum seule, car sinon elle trouverait un autre moyen de dissimuler son mal-être. Elle en parlerait à quelqu'un, prendrait une feuille de papier et un stylo pour écrire et décrire sa douleur, elle trouverait un moyen de s'en sortir, mais pas l'automutilation, et encore moins le suicide.

A partir du moment où une personne se renferme dans une pièce pour se faire du mal, se met à l'écart, qu'elle n'en parle pas, elle se sent seule, et continuer à être dans ce cercle vicieux ne l'aidera pas, mais au contraire, la fera sombrer davantage dans la solitude et la culpabilité. Mais le problème, c'est qu'elle va recommencer, et plus elle le fera, plus elle se sentira seule. C'est une chaîne sans fin. (Enfin, c'est l'impression que cela donne, car ce n'est pas facile de s'en sortir, mais tout le monde, peut importe les circonstances peut y arriver, on en parlera par la suite).

Contact avec la société :

Généralement, les personnes qui pratiquent l'automutilation ne sont pas exhibitionnistes, et cherchent plus à cacher leurs blessures. D'un côté, c'est un appel à l'aide car peut être qu'en parler à la bonne personne les sortiront de ce cauchemar, mais c'est aussi une forme de renfermement sur soi-même, qui peut être suivi de désocialisation. Elles n'osent pas en parler par peur de ne pas être comprises ou même d'être jugées. Il faut aussi accepter qu'une personne n'ayant pas vécu cette situation ne puisse pas comprendre mais il ne faut pas la laisser vous juger. Il faut accepter que par la surprise ou la déception, votre interlocuteur puisse être maladroit tout en voulant vous aider. Si c'est le cas, ne vous frustrez pas et essayez de lui expliquer le problème. Surtout, sachez que vous n'êtes pas seul, vous avez de la famille ou des amis. Et si vous ne pensez pas avoir cette personne à qui parler dans votre entourage, il existe des psychologues ou psychiatres et même pleins de forums auxquels vous pouvez vous inscrire anonymement pour parler avec des personnes ayant eu une expérience similaire à la votre.

Aider une personne à s'en sortir :

Ce n'est pas toujours facile de faire face, de comprendre et d'accepter qu'une personne ou un proche puisse s'automutiler. Mais quoi qu'il en soit, comprenez qu'une personne se confiant à vous à ce sujet à besoin de vous, de votre soutien et non votre jugement. Alors faîtes attention à vos paroles, à ne pas blesser davantage la personne, car elle a tout sauf besoin de ça. Pour commencer, écoutez-la, cherchez à la comprendre, dîtes lui que vous êtes présent pour elle si elle souhaite en parler, que vous la soutenez, qu'elle peut vous faire confiance, et que vous n'avez pas envie de la voir souffrir.

S'en sortir :

Ne restez pas seul, ne vous renfermez pas. Parlez ou écrivez, chacun à sa propre méthode pour s'en sortir, il n'en existe pas 5 ou 10 mais une infinie, et une propre à chacun.

Je vais vous proposer les quatre principales selon moi :

- La volonté. Sans volonté, on ne fait rien. Si vous avez le courage d'admettre que vous voulez arrêter et vous en sortir, c'est déjà une grande étape de réalisée.

- Comprendre. Avant de laisser tomber vos lames et vos ciseaux, comprenez-vous. Cela vous évitera de rechuter mais aussi d'avancer dans votre vie sans vous demander pourquoi avez-vous fait cela. Vous vous sentirez sans doute plus soulagé.

- Faire la paix avec soi-même. N'ayez pas honte, n'ayez pas peur du regard des autres. Acceptez-vous tel que vous êtes devenus, soyez fiers de ne plus vouloir vous faire du mal. Vous aurez sûrement des cicatrices pendant des années mais n'oubliez jamais ce que vous aurez appris avec ceci et gardez en mémoire que vous avez été courageux et que vous avez beaucoup de mérite à en être sortis.

-Et si vous rechutez, ne culpabilisez pas, valorisez vos efforts. Avec tout le courage et la volonté que vous puissiez avoir, vous pouvez vous en sortir.

Je vous remercie d'avoir lu, c'était important pour moi de m'exprimer à ce sujet et n'hésitez pas à partager cet article si vous l'avez trouvé intéressant. Je vous dis à bientôt, prenez soin de vous.💋

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Le sexisme et les jugements hommes/femmes... {Discussion n°3}

Coucou tout le monde. On se retrouve pour une « discussion », je ne sais pas vraiment comment appeler cette catégorie, mais je pose un sujet et je m’exprime dessus, je partage mon opinion, et vous êtes bien surs libres de vous exprimer aussi si vous le souhaitez. Aujourd'hui, on va aborder le thème : « Le sexisme et les jugements des hommes et des femmes… ».

Les gens se regardent trop, se jugent sans arrêt, à chercher des défauts, des différences. Mais on ne va pas parler des différences en général, mais plus particulièrement des différences entre les hommes et les femmes, ainsi que les conséquences et les jugements que cela provoquent.

Je ne suis pas contre les différences entre les hommes et les femmes, je sais pertinemment que nous ne sommes pas fait pareil (et nous n'allons pas parler de génétique dans cet article), mais je suis contre les choix personnels qui sont critiqués ou jugés.

" …c’est pour les filles ça ", " …c’est pas féminin ce sport ", " …la danse n’est pas pour les garçons ", …et j’en passe, il y en a pleins des critiques de ce genre.

Il n’y a pas de couleurs plus pour les filles que les garçons, pas de sport, pas de goûts, de style…C’est vrai, quand on voit un travesti dans la rue, notre regard va être attiré par cette personne. Pourquoi ? Parce qu’elle est différente ? Parce que c’est un garçon qui met des talons et du maquillage ? Ce travesti qui assume sa personne, mérite d’être regardé comme ça ?

Non. La réponse est non. Cette personne devrait être regardée comme toutes les autres personnes. J'ai un ami qui m'avait dit qu'il aimerait bien tester le fait de mettre de talons, de se maquiller, de faire tout "comme une femme" quoi ! C'est le "comme une femme" qui me dérange. Il y a tellement de garçon qui font ce genre de choses comparé aux filles que le maquillage, les produits beauté, les jupes, que c’est devenu « féminin ». Un garçon qui serait de ce style serait jugé « féministe ». Il ne devrait pas y avoir de catégories : « féminin » et « masculin ». Pour moi, tout, sans exception, rentre dans les deux cases. Que ce soit au niveau du style vestimentaire ou même de la pratique physique, tout est dans les deux cases. Seulement, les gens ont été éduqué dans une société où presque tout a été départagé en deux catégories. Et les gens qui ne se sont pas conformés à leur « moule » sont jugés différents. Les femmes et les hommes sont différents. Oui, mais pas tellement quand on y pense. Ce sont juste deux types de physique différents faits scientifiquement pour être assemblés et développer la race humaine.

Il ne devrait pas y avoir de catégories, de cases, de moule. Chacun est libre de faire ses propres choix sans être critiqué, de s’habiller selon ses goûts, d’avoir le style qu’il souhaite, de pratiquer le sport qu’il a envie…La critique ne mène a rien sauf au renfermement de soi-même. Pourquoi n’y a t-il pas plus d’hommes à porter des robes ? ou de femmes non épilées ? des hommes aux cheveux longs ? et des femmes rasées ? des petits garçons qui jouent à la poupée ? des filles qui jouent aux voiture et jeux vidéos ?…Parce que tout est critiqué et les gens n’osent plus être eux-mêmes.

Le sexisme est partout, dès même votre naissance. Garçon ? Chambre bleue...Fille ? Chambre rose...Enfin bref, vous savez de quoi je parle. Moi même, il y a à peine deux jours, une adulte a distribué des étiquettes à des garçons et des filles. Devinez quoi ? Les papiers bleus étaient pour les gars et les roses pour les filles. On nous éduque comme ça, et il ne faut pas rentrer dans ce moule de différenciation. Le sexisme se retrouve aussi au travail. La rémunération d'une entreprise publique ou d'un secteur privé pour un même poste est plus faible chez les femmes que chez les hommes. Vous trouvez ça normal ? Que deux êtres qui travaillent sur la même chose, avec la même énergie, de la même façon ne soient pas payés pareil parce qu'ils ne sont pas du même sexe ? Non. Et sachez que 80% des femmes sont confrontées au sexisme au travail.

Vous savez sans doutes que j’adore la musculation, j’aime les femmes sculptées et musclées…je trouve cela magnifique. Mais j’ai vu un interview là-dessus, où l’on demandait ce que les gens pensaient des femmes musclées. Vous voulez savoir la réponse ? « C’est pour les hommes », « C’est pas féminin », « C’est pas joli pour une femme »…aucune réponse positive. Non la musculation, le rugby, le foot, la boxe...ce n’est pas pour les hommes ; et la danse, la gymnastique, l’équitation ne sont pas pour les femmes. Il n’y a pas de sports attribuer plus à l’un qu’à l’autre. "En plus des remarques insultantes adressées aux joueuses considérées pas assez jolies ou trop « massives », plusieurs initiatives institutionnelles ont tenté, ces dernières années, d'imposer la jupe comme vêtement de référence exclusif de la compétition féminine, en badminton, boxe ou handball."-Marie Claire. La jupe est obligatoire dans certaines disciplines, ce devrait être autant pour les femmes que les hommes. Vous en avez la preuve que non. Pourquoi à votre avis ? Parce que le sport serait plus masculin et elles devraient donc montrer un symbole de féminité ?

Ne prêtez pas attention à ce que pensent les gens du sport que vous pratiquez. Si vous aimez et vous sentez bien dans ce que vous faîtes, continuez. Et si les gens ne comprennent pas votre choix, expliquez-leur, ou ignorez leurs remarques.

Vous devez faire de même en retour. Comprenez les personnes qui vous entourent, leurs décisions, leurs choix ; ne les juger pas, respectez-les tel qu’elles sont et gardez une oreille attentive. Vous pouvez ne pas partager la même opinion, et c'est compréhensible. Il y aura toujours des personnes qui seront d'accord et d'autres pas, et on n'y pourra rien changer.

Et c’est comme ça pour dans n’importe quel domaine. Qui que vous soyez, vous serez toujours critiqué, c’est inévitable, alors restez vous-même, n’ayez pas peur d’assumer qui vous êtes vraiment, et accrochez-vous à ce qui vous tire vers le haut. Laissez tomber les personnes qui ne respectent pas vox choix, vous jugent, elles ne voudront que vous influencer vers leurs opinions et vous deviendrez quelqu’un que vous ne souhaitiez pas être aux yeux de qui au final ? Aux yeux de gens qui ne vous aimaient pas tel que vous étiez. Il y aura toujours des personnes pour vous apprécier, vous écouter, sans porter de jugement ; et des personnes qui ne vous aimeront pas. On ne peut pas être parfait pour tout le monde, mais on peut l'être pour soi-même. Et avec votre propre jugement, devenez la perfection de vous-même. C’est à ce moment, que vous aurez confiance en vous, en votre personne, et que les remarques des autres n’auront plus d’effets sur vous.

Anonyme Girl.

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